Jusque là, Harley-Davidson a traversé les âges en capitalisant sur une philosophie et un style dont la sédimentation a livré une culture à part entière avec ses codes et ses repères. Une recette qui n'a pas trop mal réussi à un constructeur plus que centenaire qui affronte actuellement la crise comme les autres blasons pris dans la tourmente.
Le préparateur américain « Roland Sand Design » s'est penché sur le cas du Sportster de la vielle dame de Milwaukee pour l'encanailler encore quelque peu, jusqu'à lui donner une nouvelle jeunesse.
L'initiative n'est pas du constructeur, mais il n'aurait certes pas de honte à s'en inspirer vu le résultat bien léché présenté. Pour ce faire, il lui faudrait contacter un certain Dan Anderson, un Australien bon teint, qui s'est occupé magnifiquement de la Bonneville pour la faire entrer dans le clan des « Bobber ».
Ca sera la troisième édition pour les journées nationales de la moto et du scooter (JNMS) et ça serait bête de louper ça. Pourquoi ? Tout simplement ça sera l'occasion de découvrir et d'essayer les nouvelles gammes 2010 et on aurait tort de s'en priver car l'accès au salon est gratuit.
Chaque année depuis maintenant 30 ans, la sociéte LSA organisent les Oscars de l'innovation. Cette distinction récompense entre autres les produits, et magasins. Lors de la 30è édition, le jury a désigné comme lauréat le nouveau scooter électrique de chez Matra : L'E-Mo.
Et cela fait toute la différence puisque ces deux lettres rajoutées signifient que la petite boule de nerf de la marque historiquement espagnole avance grâce à la fée électricité. Derbi relève donc le challenge mais pas tout seul puisque des enseignes spécialisées anglaises, ainsi Sevcon, ou encore allemandes, tel Vema, ont fait partager leur savoir faire au blason rattaché au groupe Piaggio.
CVO, trigramme pour Custom Vehicle Operations, c'est le nid de Harley-Davidson où oeuvre la crème de Milwaukee pour sortir des modèles plus beau que nature, à des tarifs à faire perdre quelques plumes à celui qui voudrait y accéder. Pour autant, la démarche s'avère juteuse puisque jamais aucun de ces opus n'a eu à souffrir d'un désamour.
Le 22 novembre dernier nous vous avions fait part de la mise sur pied par les troupes de Vito Ippolito d'un championnat international de motos électriques, appelé « FIM e-Power International Championship ».
Comment faire pour vendre des motos en période de crise ? C'est simple ; vous prenez une moto basique, pas trop moche de préférence, une petite peinture spéciale, un petit saute vent, annoncez tout ça à grand coup de « spéchol édicheun » et si la mayonnaise est bien montée, ça devrait prendre.
Le FFM a crée le courant Gironville, la FIM veut son championnat d'Endurance qui tombe pile, le dernier « Ride Green Eco Enduro » a apporté la lumière, d'autant plus qu'il s'est déroulé non loin de Copenhague, devenu cette semaine un haut lieu de réflexion sur le réchauffement climatique dans une ambiance électrique.
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