Mettant un point d'honneur à avoir une déco pas comme les autres, la marque outre-atlantique Icon joue aussi sur le graphisme de ses casques. Après les modèles présentés par Pauline, voici les « Legion » disponibles en argenté (photo) ou en noir/ rouge, « Manic » (ci-contre et avec les dents sur la mentonnière) et autres « Skull » (tête de mort)… Tout comme le « Gogo » et le « Kitty », toutes ces décos sont faites sur la même base de casque.
Reprenant une de ses « best-sellers pédestres », la marque tricolore Bering décline sa basket Jag au féminin… Toujours dans un style plus proche du Sportswear que la chaussure moto pure et dure, cette version féminine nommée simplement Lady Jag (parée d'une semelle on ne peut plus fine), toute de Nubuck vêtue, joue sur la légèreté ainsi que sur la souplesse au détriment d'une réelle protection… même si on peut en trouver sur le haut de la chaussure au niveau du sélecteur de vitesse ainsi qu'au niveau de la malléole (renfort souple).
Ce nouvel intégral, l'IS-16 permet à la marque coréenne HJC de « chasser » sur le segment mi-gamme des casque intégraux… Directement en concurrence avec les Shark, Nolan, Caberg et autres Airoh et Lazer (et j'en passe…), ce polycarbonate décliné en trois tailles de calottes (petite taille pour le XS et le S, calotte moyenne allant du M au L et enfin la plus grande des trois pour les tailles XL et 2XL) afin de s'adapter au mieux à la morphologie du motard, est bien décidé à se faire une place face aux autres marques.
Par sa conception, le scooter Piaggio MP3 est plus stable que ses frères à deux roues, permettant ainsi aux scootéristes le conduisant de ne plus se préoccuper de poser le pied à terre lors des différents arrêts… Afin d'augmenter encore un peu plus sa facilité d'utilisation ainsi que son confort, la marque de bulles et autres pare-brise Bullster (appartenant au même groupe que Bagster, Bering, STT/ BLH… entre autres), en propose un permettant d'optimiser la protection de votre MP3 (quelle que soit la cylindrée que vous avez choisie).
Certains utilisateurs de deux roues attachent leur casque à la roue afin de ne pas avoir à le trimballer partout lorsqu'ils sont à pied (ce n'est pas mon cas… d'ailleurs, je ne comprends pas bien ce phénomène, mais bon… ça arrive ! ! ! ).
Si,après la spectaculaire nouvelle du passage immédiat de Dani Pedrosa de Michelin à Bridgestone diffusée après le Grand Prix de San Marin, le pilote du HRC a remercié Honda et le manufacturier éconduit de leur compréhension face à ce qu'il a présenté comme une doléance personnelle, le sponsor titre du HRC, Repsol a apporté aujourd'hui une autre version de l'histoire, pour mieux s'attribuer la paternité de la démarche.
Si du côté de Ducati les mines se sont allongées à peine le premier tiers de l'épreuve franchi, les troupes de Lucio Cecchinello n'ont, elles, même pas eu l'occasion de savourer le premier tour avant de commencer à ranger les outils.
Si Rossi pense que c'est la pression qui l'a poussé à bout tandis que Livio Suppo argue de sa blessure au poignet pour expliquer sa chute, Casey Stoner, lui penche plutôt du côté de ses pneus qui ne lui auraient pas permis de s'exprimer comme il l'aurait voulu. Gageons que la vérité réside dans la somme de tous ces arguments.
Pour Livio Suppo, l'issue dramatique pour ses troupes de ce Grand Prix de San Marin remporté par Rossi est à rechercher dans la blessure dont souffrait son poulain Casey Stoner.
Troisième victoire de rang pour un Valentino Rossi qui a pris un malin plaisir à être le grain de sable qui vient à chaque moment crucial d'un Grand Prix, enrayer la belle mécanique Stoner.
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