
PSA Peugeot Citroën voit en la Chine un véritable eldorado dans lequel il n'hésite pas à investir 1,1 milliard d'euros. Mais il manque une chose au groupe français pour pouvoir s'imposer de façon durable sur ce marché aux possibilités extraordinaires mais à la clientèle peu fortunée : une offre dite low cost. Un défaut qui pourrait bien être corrigé dans un futur proche si l'on en croit son président.