Enjeu environnemental, économique et sécuritaire, l’éco-conduite est aujourd’hui plébiscitée par les flottes. Elles sont de plus en plus nombreuses à s’équiper de solutions télématiques diverses (boîtiers embarqués, applications pour smartphones avec coaching en temps réel, etc.) pour sensibiliser et impliquer leurs collaborateurs.
La majorité des entreprises opte pour des véhicules de fonction en location. Parmi les offres qui gagnent du terrain figure la LLD, formule qui impose de restituer le véhicule au loueur en fin de bail. Un moment souvent redouté par les gestionnaires de parcs. Voici des conseils pour anticiper le jour J.
C'est désormais fait, la LOM (loi d'orientation des mobilités) a entériné la partie sur les flottes. Les gestionnaires de flotte auront l'obligation de choisir 10 % de véhicules dits "propres" dans les flottes d'entreprise. C'est à dire des autos dont les rejets officiels (selon homologation) sont inférieurs à 60 g/km.
Les loueurs rencontrent un immense succès auprès des entreprises avec la LLD (location longue durée). Mais toutes les offres ne se valent pas et quelques points d’importance sont à surveiller avant de signer.
Simple et commode à utiliser, une carte de carburant peut représenter un avantage pratique et économique, mais elle peut aussi être perçue comme un véritable fil à la patte pour l’utilisateur.
Les entreprises optent pour différentes gammes, marques et modèles pour les voitures de fonction proposées à leurs salariés. Mais quels sont les modèles qui ont l’honneur d’être choisis le plus souvent ? Retour sur le palmarès 2018.
Pour les constructeurs automobiles, les entreprises sont des clients à ne pas négliger et même à choyer. Aussi, pour réussir à se démarquer de la concurrence et donc séduire, plusieurs marques ont créé des finitions spécifiques nommées « Business » et généralement réservées aux sociétés. Sont-elles intéressantes ? Que contiennent-elles ?
Pour fidéliser ou séduire certains collaborateurs, les chefs d’entreprise peuvent opter pour deux solutions : une augmentation de salaire ou une voiture de fonction. Or face à ces propositions, des avantages et des inconvénients existent pour les deux parties. Explications.
Depuis le 1er janvier 2017, les employeurs ont l'obligation de donner le nom du conducteur qui se trouvait au volant d’un véhicule de l’entreprise lorsque celui-ci a été verbalisé pour une infraction au Code de la route. Nous voilà en 2018, un recul qui permet de faire des bilans. Parmi ceux-là, une tendance forte voulant que les infractions commises avec ce type de véhicule soient en forte baisse.
85 % des véhicules livrés aux sociétés en 2017 carburaient au gazole. Mais la tendance à la baisse du diesel est enclenchée, même si elle sera moins rapide que chez les particuliers.
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