On ne s’en lasse pas. Mais on s’en étonne toujours. Il arrive à certains de partir avec un certain nombre de passagers dans leur véhicule pour une même destination commune et d’arriver avec quelques âmes en moins dans l’habitacle. Un allégement des effectifs constaté une fois le moteur éteint et les portières ouvertes. Une situation d’autant plus surprenante que, souvent, ce type d’oubli concerne des proches. Un jeu des sept familles, égrainé par les événements découverts çà et là. Après la belle-mère ou l’épouse égarées sur les aires d’autoroutes, voici le fils oublié nuitamment sur la départementale…
C’est une opaque affaire de certification pour le marché intérieur japonais qui met actuellement à mal une industrie automobile nippone qui aurait aimé oublier un moment ses errements sous l’auvent de son Salon de Tokyo. Le « made in Japan » n’est plus ce qu’il était ni même la discipline d’entreprise à l’aune des errements d’un secteur qui a fait la réputation contemporaine de l’empire du soleil levant. Au fracas de l’effondrement de l’empire Takata aux airbags meurtriers succèdent les craquements du reste de l’édifice. L’enseigne Kobe Steel tangue et Nissan colmate ses brèches mais voilà que Subaru vacille à son tour.
La marque a concocté un alléchant road-trip de 30 000 km avec le nouveau Cayenne. 20 pays seront traversés. Six étapes composeront cette expédition moderne, avec un nombre de places limité… et des tarifs sûrement exorbitants.
Un sondage montre qu'on peut passer jusqu'à 30 minutes par semaine à chercher une place de stationnement. Ce qui fait deux mois et demi dans une vie !
L'on dit souvent que l'automobile, la moto ou le véhicule professionnel est responsable de tous les maux sur la route lorsqu'il s'agit de sécurité routière. Sauf que dans les centres urbains, les piétons et cyclistes ont leur part de responsabilité. Les premiers seront d'ailleurs amendés à Honolulu s'ils traversent la route en regardant leur smartphone.
Que se passe-t-il donc au Japon ? Entre une enseigne Takata qui s’est effondrée sur elle-même après que ses errements aient lézardé un édifice qui semblait indestructible, après une affaire Kobe Steel en pleine révélation sur des qualités de produits falsifiées posant question sur la sécurité, voici le cas Nissan. Qui, apparemment, n’arrive pas à se faire entendre chez lui. Après l’idée ébranlée d’une belle qualité « made in Japan », voici la surprise de constater une discipline japonaise pourtant légendaire mise à mal. Pour le constructeur automobile, la facture ne va pas être anodine puisqu’il annonce suspendre la production de ses véhicules destinés au marché nippon dans toutes ses usines au Japon.
Le préparateur et fabricant américain de voitures Hennessey vient de publier un teaser qui ne laisse en apparence que peu de place au doute. La marque est déjà connue pour sa supercar Venom GT, capable de dépasser les 400 km/h, mais cette fois, ce sont les 300 mph, soit 485 km/h, qui semblent visés.
Les trois grands de Detroit sont habituellement des rivaux, mais avec le temps, des alliances se sont nouées. Si bien qu'il n'est plus très étonnant de voir un General Motors collaborer avec son grand concurrent Ford. GM est même allé jusqu'à faire un don de 5 millions de dollars au musée de la marque à l'ovale bleu.
Un embouteillage, tout automobiliste y a goûté un jour ou l’autre. Pour les citadins, la perte de temps dans les bouchons des villes surpeuplées peut se compter en dizaines d’heures dans une année. Avec un nombre de véhicules qui ne cesse de grimper, une géographie routière qui n’est pas forcément extensible, les bouchons risquent de perdurer. Et pourtant des solutions existent ou existeront pour les réduire.
Si elle était vendue par chez nous, elle serait très appréciée des amateurs de petits tracés sinueux et de rétrogradages. Mais la Renault Sandero RS n'est malheureusement commercialisée qu'en Amérique du Sud, où la citadine remporte du succès... sur les pistes de drag.
Rechercher par sous-rubrique dans Faits divers & Insolite