
Flexibilité, voici le mot magique que l’on entend énormément en ce moment surtout en cette période préélectorale. Considérée comme la solution miracle au chômage mais également au manque de compétitivité, la flexibilité est souvent accueillie fraîchement par les organisations syndicales. Logique car elle souvent synonyme d’augmentation du temps de travail des salariés. C’est ce qu’il risque d’arriver prochainement au personnel de chez Renault.