Malgré le lancement de deux nouveaux modèles Fiat (la Topolino et la 600), l'italie n'est pas en odeur de sainteté dans le groupe Stellantis. La faute à un gouvernement qui n'aime pas les voitures électriques alors que la galaxie dirigée par Carlos Tavares attend des gages de confiance et des aides sonnantes et trébuchantes pour y déployer une gigafactory.
Il n’est plus possible de commander une Nissan Micra. C’est la fin de la carrière de la citadine japonaise dans sa version thermique, avant l’arrivée de la variante électrique dans deux ans qui reprendra les éléments techniques de la Renault 5.
Renault se fait plus discret sur sa nouvelle division Horse réservée aux voitures thermiques que sur l’entité « Ampère » dédiée aux voitures électriques. Mais depuis le 1er juillet, elle est devenue une réalité.
C’est le coupable idéal, surtout pour les constructeurs européens. Si, pour eux, l’Empire du milieu n’a qu’une idée en tête : les détrôner pour imposer leurs voitures électriques chez nous, c'est de la faute à Bruxelles. Et si nos propres marques étaient en partie responsables de cette prévisible invasion commerciale ?
Alors que Porsche prépare le lancement de la version électrique de son SUV Macan, le constructeur allemand craint que les clients ne soient pas tous prêts à faire le grand basculement…
Elle arrive début 2024, cette très attendue R5 électrique. Mais pour le moment, ce sont 60 prototypes qui sont fabriqués dans un endroit tenu très secret, au sein même du Technocentre, le "centre de réalisation des prototypes". Une mini-usine dans laquelle, pour la première fois, des médias ont été autorisés à pénétrer. Caradisiac y était.
Le tout dernier exemplaire de la Ford Fiesta sortira de l’usine le 7 juillet. Elle est exclue pour laisser la place à l’Explorer, le nouveau SUV électrique de la marque.
Suite à des résultats de ventes jugés décevants et des problèmes de conception en interne, le patron du groupe Volkswagen vient de changer le dirigeant d’Audi et espère que le nouvel arrivant pourra amener la marque aux anneaux au niveau de BMW et Mercedes.
Connu pour ses voitures sans fioritures, le constructeur roumain entend désormais produire des modèles désirables et robustes au juste prix. Plongée au cœur de l’univers Dacia pour comprendre comment la marque roumaine joue la carte de l’embourgeoisement accessible.
Le patron de Renault, Luca de Meo, va également devenir le chef de sa filiale Ampere, liée au développement du véhicule électrique. Il annonce une réduction des coûts de 40 % pour la prochaine génération de véhicules électriques.
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