Six ans après le début de l'instruction, les mises en examen sont tombées la semaine passée. Et trois marques françaises sont incriminées : Citroën, Peugeot comme Renault se sont vu signifier par la justice qu'ils avaient trompé leur monde entre 2009 et 2015. Mais six ans ont passé et ces constructeurs, contraints et forcés par les pouvoirs publics européens, ont évolué et se sont adaptés. Ils sont aujourd'hui rattrapés par cette vieille histoire...
Les autorités allemandes n'ont pas encore lâché Porsche, qui pourrait être contraint de rappeler des milliers de véhicules en circulation pour une supposée fraude à l'homologation sur certains modèles.
Renault a été mis en examen pour "tromperie" dans le cadre du Dieselgate. La marque conteste avoir commis la moindre infraction.
Les plus grandes entreprises innovantes ne changent guère au fil des ans. PSA reste en tête du nombre de brevets déposés en 2020 devant Safran et Groupe Valeo. Renault se classe en cinquième position.
Clap de fin pour le contentieux entre Daimler et Nokia. Le groupe allemand va régler l'affaire à l'amiable en acceptant de payer pour l'usage de technologies découlant de brevets déposés par Nokia.
Le pétrolier français change de nom. Total de vient TotalEnergies, ce qui n'est pas un hasard : le géant tricolore veut souligner ses activités désormais plus diversifiées, et plus seulement axées sur l'or noir.
Le mois de juin apporte quelques nouveautés pour les conducteurs, pour la plupart dans les régions.
Pour à peine plus cher qu'un vrai stage, des milliers d'automobilistes ont pu récupérer frauduleusement des points sur leur permis.
À partir de 2022, les véhicules neufs devront être équipés d'un boîtier qui enregistre des informations sur la conduite. Un équipement de sécurité routière selon l'Europe.
45 % des Français sont opposés à une interdiction des véhicules à moteur diesel en ville.
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique