Tous les principaux marchés européens ont participé à cette progression, mais certains ont enregistré des performances spectaculaires, comme l'Espagne à + 26,1 % (qui revient de très loin), l'Italie à 13,2 % et le Royaume-Uni à + 12,0 %. Sous la moyenne mais toujours dans le positif, l'Allemagne signe un + 6,6 % suivi de la France à + 4,5 %.
Les groupes automobiles français ont su rester du bon côté du zéro, mais Renault s'en sort bien mieux avec + 9,9 % et 95 273 unités, Dacia à – 0,3 % et 26 825 unités tirant pourtant vers le bas la marque au losange à + 14,5 % et 68 448 unités. PSA signe un plus timide + 1,1 % avec 105 611 unités, à cause de Citroën à – 0,7 % et 39 965 unités et surtout DS à – 20,8 % et 4 552 unités qui ternissent le + 4,5 % de Peugeot, à 61 094 unités.
La totalité des principaux groupes étrangers restent aussi dans le positif, avec avant tout un Volkswagen très en forme à + 11,1 % et 233 527 unités, porté par les ventes de la marque du même nom à + 13,0 % et 115 021 unités, mais aussi par Seat à + 23,1 % et 25 784 unités et… Porsche, à + 40,9 % et 3 886 unités. Grâce aux très bons résultats de Jeep à + 200,7 % et 6 066 unités, le groupe Fiat enregistre un + 11,9 % avec 65 060 unités. Mais le concours de bonnes notes se prolonge avec BMW à + 16,8 % et 56 126 unités, Daimler à + 13,2 % et 49 842 unités et enfin Toyota à + 7,6 % et 40 055 unités. Ford échoue juste en dessous de la moyenne à + 6,9 % et 60 924 unités tandis que GM continue de payer le retrait de Chevrolet avec – 7,8 % et 59 269 unités alors que Opel/Vauxhall est à + 6,3 % et 59 096 unités.
Ventes européennes en février 2015 à + 7,3 % : PSA à + 1,1 %, le groupe Renault à + 9,9 %
Source chiffres : ACEA
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