Annoncée comme la Prius C ou la Prius Aqua, la nouvelle Toyota sur le salon, outre la “86” bien sûr, c’est l’Aqua. Une mini Prius, mais avec son style à elle et non la même en plus court.


Elle reçoit un 4-cylindres thermique 1,5 litre comme l’ancienne Prius, ici avec 74 ch, associé à un bloc électrique permettant une puissance combinée de 100 ch. Ce dont elle devrait s’accommoder car sa vocation est moins routière que celle de la grande sœur : avec 3,99 m, elle évolue en effet dans le Gabarit 207/208 et Clio.

Comme la Prius, l’Aqua n’est qu’hybride… mais non destinée à l’Europe. Sur l’Ancien Continent, Toyota préfère proposer l’Auris hybride accompagnée, courant 2012, de la Yaris hybride qui sera fabriquée en France, deux modèles non proposés dans l’archipel. L’Aqua, c’est donc pour le Japon, point. Et la qualité des matériaux à bord a été sélectionnée en conséquence. Ici, pas besoin de plastique moussé pour séduire une clientèle très (trop ?) exigeante : du plastique dur sur la planche de bord, et qui même parfois brille un peu. Pas très « premium » mais l’assemblage ne semble pas négligé pour autant et les clients en général ne s’arrêtent pas sur ce genre de détail. L’Aqua s’annonce en moyenne 14 % plus sobre que la Prius soit, converti pour l’Europe, environ 76 g de CO2/km. Ce qui peut donner une idée de ce qu’affichera la Yaris Hybride, qui partagera la mécanique de l’Aqua.