Retour vers l'une des dernières affaire Renault avant le refus de Carlos à faire démissionner Patrick et la prétendue «source» de dominique Gevrey. Par un communiqué, Ghosn et Pelata adressent leurs excuses auprès des trois cadres licenciés et mis en cause injustement. Aucun d'eux ne détient de compte au Lichtenstein ou en Suisse. Les soupçons reposent désormais vers un des chargé de la sécurité de Renault. Il est mis en examen pour «escroquerie en bande organisée». Le constructeur décide alors de convoquer une réunion extraordinaire du conseil d'administration.
Patrick Garcia reprend l'intégralité du communiqué dans lequel les deux samouraïs de Renault promettent le dédommagement des cadres réintégrant l'entreprise.
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