Souvent pour les choses les plus improbables qui sont devenues ensuite des centres d'intérêt pour l'automobile, c'est Citroën qui a senti là le potentiel. C'était il y a déjà dix ans et les premières recettes dans le genre ont été appliquées à la C4. Depuis, PSA a embrayé sur le sujet tandis que Mercedes s'est mis au parfum. A présent, on sollicite même des techniciens de la profession olfactive pour mettre au point des senteurs susceptibles d'enivrer le chaland, jusqu'à lui faire signer le bon de commande.
Attention cependant. Il n'y a rien de pernicieux là-dedans. Et c'est plus compliqué qu'on ne le croit. Ici pas de patchouli outrageant. On agresse pas, on suggère, on veut mettre à l'aise et rappeler de bons souvenirs. Tout est dans la nuance et n'en déplaise à Grey, il n'y en a sans doute plus que cinquante. Quand on y pense, ça fouette le sang. Exemple avec Mercedes qui a franchi une étape supplémentaire en proposant en option dans ses voitures un diffuseur de parfums réglable en intensité et "à la carte". Bienvenue dans le "Smell Marketing"...
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