Une question existentielle m’envahit en ce dimanche soir. Quelle sera la voiture pour mes funérailles ? Si je suis enterré en France, à moins que mon corps ne parte en fumées, j’ai toutes les chances, vu l’état actuel du marché des véhicules funéraires et s’il n’évolue d’ici-là, de terminer dans un véhicule carrossé par le spécialiste français de la chose Ducarme.
Mais je pourrais peut-être couché sur mon testament un dernier vœu à exaucer. Celui de terminer ma course dans une Maserati Quattroporte spécialement aménagée pour tous les popes de Caradisiac. A moins que, devant l’embarras du choix de véhicules plus exclusifs les uns que les autres ou plus exotiques les uns que les autres disponibles au sein (haut) du catalogue du spécialiste italien Intercar Service, je me retrouve, faute de faire mon choix, en bout de course autant qu’à bout de souffle et pour imiter l’ami Pierrot, dans le premier break Renault 12 sous la main.
Notez au catalogue d’Intercar Service l’immanquable moto funéraire que je ne saurais que trop conseiller à tous nos voisins d’en face… Et si on veut mourir écolo, comment fera-t-on ?
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