Ferrari est considérée comme la marque automobile la plus chère du monde, mais aussi comme l'une des plus rentables. Jugez-en : 2,3 milliards d'euros et un bénéfice de 363,5 millions d'euros annoncés comme bilan d'une année 2013 qui a été synonyme d'une hausse de 5% de son chiffre d'affaire. Mais pas de sa production, volontairement limitée à 7 000 exemplaires.


Des résultats qui méritaient d'être partagés avec les chevilles ouvrières. Celles-ci se verront dont verser une prime de 4 096 euros, ce qui représente peu ou prou 20% de leur rémunération annuelle selon le quotidien Corriere della sera qui révèle l'info. Une bonne nouvelle pour les intéressés, mais ça reste moins que les 8 200 euros brut récemment promis aux collègues de Porsche. Décidément, alors que la crise économique perdure, les marques de luxe de l'automobile ne se sont jamais aussi bien portées.